La grande salle

La jeune femme s'avait (s'était) entrainée toute la matinée dans la cour extérieur et elle a commencé à avoir faim quand le soleil était à son plus haut dans le ciel. Quand elle fut assise dans la grande salle, Lia pris une seconde pour se remémorer le temps où elle et ses frères et sœur d'armes étaient écuyers. Le temps où ils s'entrainaient tous ensemble dans la grande cour. Maintenant, chacun a son moment d'intimité dans le château que ce soit à la bibliothèque pour s'instruire, ou encore qui se promène à cheval tout le matin afin d'aider les villageois. Une servante amena du vin et du pain, Lia-Képhas n'aimait pas trop boire aussi tôt dans la journée. Mais aujourd'hui c'était le jour de c'est vingt ans. Elle qui déteste être fêtée buvait seulement le jour fatidique de son anniversaire pour seulement se rappeler, qu'elle avait le droit de se faire plaisir parfois. La femme se releva nette en attendant (entendant) des pas dans la direction du corridor. Ces pas se dirigeaient directement vers la grande salle. Avec le temps, elle devinait facilement qui allait et venait dans les corridors, mais aujourd'hui tout lui jouait des tours, donc elle n'essaya même pas de trouver qui venait avec cette force de vie. Lia se rassit un pied sur le banc , les genoux sur sa poitrine et les bras autour, sa tête s'appuya instinctivement sur le genoux et regarda dans la direction de la porte, quand celle-ci laissa passée sa soeur d'armes.

[Edit by Tsu' : Il y a tellement de fautes d'orthographes et de fois où t'es confondu ses/ces/c'est ou des trucs comme ça que ça m'agresse les yeux au point de me faire pleurer... T'as aussi confondu des verbes, du moins je pense. j'ai mis les modifications en italique et en souligner, lorsque j'ai "changé" un verbe je l'ai mis entre parenthèse à côté. C'est ton Rp, alors j'ai pas trop le droit d'y toucher, mais ça faisait tellement mal aux yeux que.... (et j'ai sûrement oublié plusieurs fautes... J'suis pas une pro en orthographe non plus...]

J'avais fini ma promenade avec Arold, mon cheval , quand je fit irruption dans la grande salle. Le soleil ,qui m'avait bronzé la peau à la longue , était bien haut dans le ciel, faisait sourire les gens. J'enleva ma capuche pour laisser mon visage à découvert, les servantes du château me salua a mon passage en faisait une référence , mais ne voulant pas être favoriser par mon statut de princesse, je leur demanda , encore une fois, de ne plus faire cela... Arrivé à la grande salle, je découvris une de mes soeurs d'armes assis seul, pourtant c'était son grand jour. Lia-Képhas avait de long cheveux noir et de beaux yeux noirs profonds . Elle fêtait ses 20 ans aujourd'hui, elle n'avait que deux ans de plus que moi, mais cela ne changea rien dans notre relation puisqu'on était très proche l'une de l'autre comme avec tout les autres. Je me dirigea vers elle tout en demandant un verre d'eau , en attendant le repas qui j'en étais sur, arriverai dans les quelques minutes qui suivraient. Mes cheveux dansaient dans mon dos quand je m'assis sur un bas pour faire face à mon amie. Je lui fit un beau sourire avant de la saluer.

- Comment vas-tu , lui dis-je avant de prendre une gorgée d'eau.
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Pour Lia ,l'entrée de la princesse du royaume ne la fit pas lever de son banc et la regarda rentrer dans la pièce, pour ce qu'elle représente pour la chevalière, une soeur d'armes, depuis son premier jour au château , la princesse était une amie précieuse pour tous. Sa beauté était plus que visible, tout le monde pouvait la voir et l'admiré. Quand, elles étaients de simples écuyères, la princesse ne recevait pas de traitement de faveur et elle devait s'entrainer comme tout le monde et c'est ce que Képhas adorait chez la princesse. Mélodie était comme elle un chevalier, donc elle ne voyait pourquoi faire la révérance comme tout les gens autour d'elle. Elle lui sourit à son tour et elle réalisa quand la jeune femme s'assit devant elle, que celle-ci n'avait pas oublier quel jour on était ce qui rendit le chevalier sans aucune expression apparente, mais cela la toucha profondément.

-Bonjour, je vais bien en ce jour dont les dieux m'ont offert la vie. Et toi, est- ce que la matinée, t'a été aussi favorable que moi.

Les serviteurs amenaient la nourriture pour les deux demoiselles assisent à la table. Les repas à Émeraude n'avait pas d'égale dans aucun royaume que Képhas-Lia avait pu visiter. La jeune femme plongea son regard sombre dans le regard profond de la princesse et elle ce dit que toute les deux avaient bien grandit depuis les nuits ou la princesse venait dans le dortoir des éléves pour venir parler avec eux.