Macabre Pheare pour vous servir

Nom: Elle n'en sait rien

Prénom: Pheare (Prononciation Phire)

Surnom: Il y a pas intéret

Âge: 24 ans

Race: Humaine

Royaume de naissance: Jade

Royaume actuel: Forêt interdite

Ce qu'il aime: Elle s'aime elle même, torturer, provoquer la peur et la crainte, la nuit, arracher les coeurs à mains nues.

Ce qu'il n'aime pas: Elle méprise les chevaliers d'Émeraude, recevoir des ordres, qu'une cible lui échappe.

Ces qualités: Grande resistance magique, guerrière aguérie, tout ce qui lui tombe sous la main devient une arme mortelle pour son adversaire, rapide et imprévisible.

Ces défauts: Pas de self controle, pas d'allégence, pas de pouvoir.

Description physique: Pheare a un physique qui inspire à la frayeur, elle doit son apparence à son habitat de jeunesse, ainsi qu'à toute une série d'expèrience magique sur elle. Ses yeux rouge terrifient l'ennemis d'un simple regard, sa peau d'une lividité rare la ferais passer d'avantage pour une morte que vivante. Elle est de taille moyenne, et coiffée d'une jolie chevelure noire, malgrés son jolie corp elle n'en joue pas, la séduction ne l'interresse nullement. Elle est généralement vêtue de vêtement fins et de dentelles, la couleur est toujours le noir bien sûr. Son visage ne laisse jamais passer une émotion ....

Description psycologique: Pheare est une personne froide et sans âmes, la torture est sa passion première, elle aime tourmenter ses adversaires, et surtout lire la peur en eux. Elle n'a pas d'allègence la seule personne qu'elle respecte c'est elle même, néanmoins elle sais saisir une occasion quand elle en voit une. L'émotion elle connais pas, la seule chose qu'elle laisse paraitre c'est son impassibilité. Elle aime diriger et se sentir supèrieur aux autres, si quelqu'un ose la contredire il devra en payer le prix, même si ils se prétendent être son ami. Pheare n'a pas de limite au mal qu'elle peut occasionner, elle ne sais pas s'arrêter, elle est très intelligente mais pour se qui est du self controle c'est pas du tout ça, c'est pour ça qu'elle compte souvent sur quelqu'un, pas pour l'aider, mais pour la contenir, surtout si avant de combattre elle voulait sa cible vivante.

Armes: Tous ce qui lui tombe sous la main !

Pouvoirs: Aucuns

Fonctions: Dans le peuple ^^'

Histoire: Pheare est née dans une région fertile à Jade, mais elle n'a pus profiter de cet endroit que trois jours. Dans la nuit de troisième jour son père l'emmena loin de chez eux dans une forêt isolée, Le nourrisson avais froid et hurlait à ne plus en respirer. Son père la déposa à même le sol alors qu'elle n'était vêtue que d'une simple guenille, puis s'en alla sans même se retourner. Le bébé laissé à son propre sort pleurait encore et encore, et cela dura deux heures avant que des craquements de branches se facent entendre. Une ombre noire sortie de derrière un talus, et s'approcha du nouveau née. La pauvre enfant n'avait même plus la force de pleurer, c'est alors que l'ombre la saisie et sauta sur le dos d'une créature des plus étranges et l'emporta loin très loin. Le voyage fut long et éprouvant, mais ce n'était pas fini pour autant, le mystèrieux être s'engouffra avec elle dans les bras dans une grotte sombre ou l'air y était pesant, il continuait d'avancer et se mit à descendre une longue pente souterraine, le temps de marche fut suffisament long pour savoir que la nouvelle demeure de l'enfant se trouve à plusieurs centaines de mètres en dessous de la terre.

Une fois arrêtée l'ombre tendit l'enfant à une femme qui l'attendait et dit :

- Je te la confit femme ! Et ne me déçois pas, ou sinon tu servira de pâtée pour le bébé !

La dame tétannisée répondit :

- Je vous le promet, mais comment dois je l'appeler ?

- Tu l'appèlera Vulcania !

L'ombre s'en alla s'en rien ajouter. La femme se mit immédiatement au travail, et lava la jeune Vulcania avant de la nourrir comme il se devait.

Dix ans plus tard ...

Vulcania jouait comme n'importe quelle fille de son age, mais toujours sous terre. Mais pour elle c'était normal elle a vécue là toute sa vie et pensais que c'était partout pareille. C'est alors qu'en plein divertissement qu'un être noir sorti de nul part et s'approcha de la jeune fille, vulcania ne sue comment réagir alors elle ne fit rien. L'ombre tendit sa main et redressa le visage de l'enfant et dit d'une voix satisfaite :

- Tu as bien travailler femme, elle est prète désormait, votre tâche est donc terminée !

La jeune femme ne comprenant pas demanda :

- Mais elle est prète pour quoi ? Et c'est mon enfant et non un travail ...

- Tu n'as pas compris on dirait, ta tâche est terminée tu ne me sert plus à rien !

Il souleva vulcania par le cou et la mit sur son épaule avant de sortir une sorte de hache d'acier noire pour fendre le crane de la pauvre femme. Celle ci tomba lourdement sur le sol avec la lame plantée dans le front, Vulcania hurlait et tapait de toutes ses forces dans le dos du ravisseur, alors celui ci dit un mot incompréhensif, et le sommeil l'emporta.

A son réveille la jeune fille était allongée sur une table dur avec pieds et mains solidement attachés, la pauvre enfant paniquait ne comprenant pas ce qui lui arrivait, l'ombre s'approcha d'elle et dit :

- Ne t'inquiète pas tu vas m'être très utile, puis il éclata dans un fou rire de psycopathe.

L'ombre fit deux pas en arrière et souleva sa capuche, la pauvre fille avait sa vue bien trop altérée pour distinguer le moindre visages, mais ça ne l'empêcha pas de sentir un puissant courant électrique la traverser, suivis d'une intense chaleur, puis de puissant hurlements dans sa tête, puis des illusions des plus horrible l'envahissaient qui lui fesait voir des scène de guerre et de meurtre en tout genre, et la douleur revenait, cette fois ça lui fit un effet de plusieurs lames qui la transpersait toute en même temps, l'agonie fut t'elle quelle s'évanouissa.

Quand elle se réveilla avec une affreuse migraine, elle constata qu'elle était emprisonné dans une cage tout juste plus grande qu'elle qui la forçais à se tenir debout, juste en face elle voyait tout un groupe d'être noir idem à celui qui a tué sa mère, et qui lui a causé tant de souffrances. Voyant qu'elle était réveillé l'un d'eux s'approcha et lui projetta une série d'illusion tout aussi horrible les unes que les autres, il fesait ça jusqu'à épuisement, quand la fatigue le terrassait un autre prenait sa place et ainsi de suite. La pauvre fille ne pouvait même plus dormir sans être hantée par d'affreux cauchemards, ses êtres ne cherchais qu'à dévelloper de nouveaux pouvoir, et observer l'effet que cela pouvait faire, Vulcania n'était autre qu'un cobaye préparé pour cela.

Six ans plus tard :

Vulcania passa son adolescence dans la torture magique et les illusions en tout genres, mais la cage dans laquelle il l'a remettait à chaque fois finie par devenir trop petite pour elle. Un des être dit tout en refermant la porte de sa cellule :

- Demain on la change de cage, et ça lui fera pas de mal de changer de pièce également !

Vulcania se dit que c'est demain que cessera ces infamies sur sa personne, son apparence fut profondément changée à cause de tout ça, ses yeux bleu virairent aux rouge vif, sa peau déjà bien pâle devint totalement blanche. Mais le changement le plus grand qui se produit fut en elle, les illusions n'avaient plus d'effet sur elle, la torture magique ne lui fesait que des carresses. L'ombre qui dirigeait tout ça pensait que son cerveau était gravement touché et qu'elle n'avait plus la sensation de douleur, et cela le réjouissait car il pouvait y mettre toute sa puissance sans risquer que son coeur lache.

Le lendemain deux êtres noire vinrent la chercher, celle ci jouait les extènués pour qu'aucune méfiance ne reigne. Arrivé dans la nouvelle pièce Vulcania changea radicalement de comportement et bouscula les deux ombres qui la tenait, elle saisie une chaine qui était suspendue à la roche et cingla froidement le visage d'un de ses ravisseurs, l'autre ayant trébuché suite à la bousculade, il lui administra une puissante décharge électrique, mais cela ne lui fit rien depuis le nombre d'année qu'on lui fesait ça il fallait s'en douté, l'être hurla avant que la jeune fille enragé prenne une pierre et lui défonçe le crane, elle ne s'arrêta qu'au trentième coups. Vulcania savait qu'il en restait quatre y compris le chef, elle se mit à courir dans leurs directions, là ou il fesait leurs rituels habituel. Le dirigeant se retourna et vit son "expèrience" leur foncer dessus pour leurs faire connaitre son impitoyable vangeance, celui ci lui projetta une intense lumière dans les yeux, celle ci fut durement éblouie elle ne connaissait pas la lumière, mais l'effet se dissipa vite. C'est alors que l'ombre arma son batons afin de lui donner le coup fatal, mais quelle ne fut pas sa surprise quand il vit la jeune fille l'attraper et embraucher un de ses fidèle avec son propre baton. Celui ci était trop étonné pour réagir qu'elle put tuer sans difficulter les deux autre, et de manières tout aussi violentes.

La jeune fille se releva après s'être longuement acharné sur l'un des corps, elle s'approcha de l'assasin de sa mère et lui dit :

- Un dernier mot ?

L'ombre répondit sur un ton sec :

- Vulcania cessez immédiatement cette folie !!

La jeune fille lui rétorqua :

- Vulcania c'est le stupide nom que tu m'a donné, un nom de prisonnière, on me connaitra désormais sous le prénom de Pheare ! Maintenant il est temps pour toi de trépasser !!

L'ombre n'eu pas le temps de dire quoi que ce soit mis à part un hurlement quand celle lui plongea ses doigt dans ses yeux jaune avant de lui arracher le coeur et l'embraucher sur une pic qui se trouvait non loin. Pheare se savait désormais libre, et elle savait que le monde n'était pas fait que de souterrains, les illusions lui avait montrées des scènes de guerre et de torture en surface et en plein jour.

C'est après une longue marche que Pheare aperçue ses premiers rayons de soleils, et se demandait se qu'elle allait bien pouvoir faire dans se nouveau monde, en tout cas c'est un avenir peut réjouissant pour ceux ou celles qu'elle rencontrera ...

Pas finie ...

Suite de l'histoire : Trois ans plus tard après s'être échappée de là ou elle était recluse, Pheare n'avait toujours aucune idée de se qu'elle allait faire dans ce monde extrèmement diversifié, il était temps pour elle de savoir se qu'elle allait faire de son futur, personne ne connaissaient son éxistance, cela ne pouvait être que bénéfique pour elle, surtout si elle voulait faire une entrée explosive. Elle décida alors de s'assoir et de passer toute sa vie en revue et décider ensuite de sa destiner.

La première chose qu'elle se rappelait c'est quand elle jouait avec sa mère, mais elle ne ressent plus la joie qu'elle pouvait éprouver à cette époque, mais le moindre souvenir pouvait lui être utile, alors elle y songea intensément se remettant à la place de la fille qu'elle était ...

Pheare devait avoir au moins six ans, apparemment ses souvenirs précédents ont soufferts de la torture qu'elle a subit. Elle voit sa mère l'appeler pour l'aider à préparer à manger, celle ci accourt aussitôt heureuse de se rendre utile, et surtout de voir la joie dans les yeux de sa maman quand elle venait lui faire un câlin, de longue partie de chatouillage se lançait par la suite, la jeune fille riait jusqu'à en pleurer, mais tout à une fin il fallait préparer le repas, du matin, du midi ou du soir ? Elle l'ignorait mais elle s'en fichait puisqu'elle vivait comme ça. Cependant avant qu'elles commencent leurs besognes l'enfant posa une question peu commune entre parent et enfant :

- Maman ?

- Oui chérie ? Répondit elle avec un large sourire

- Tu t'appelles comment ?

La jeune femme fut surprise d'une telle question, surtout depuis six ans qu'elle s'occupe d'elle, elle cessa de rire et fronça les sourcils en lui rétorquant :

- Pourquoi tu me demande ça, ça se fait pas !!?

L'enfant baissa les yeux et répondit :

- Moi je m'appelle vulcania, mais des fois tu m'appelle "ma fille", alors je pense que pour maman c'est pareille et que tu as un nom à toi, s'il te plait ne me gronde pas ...

La jeune femme souria, et lui dit :

- Dis donc tu es une petite futée toi, oui en effet j'ai un prénom à moi, mais ça fait longtemps que je ne l'ai plus entendut ni même dit, ça me fait plaisir que tu me le demande, je m'appel Maria.

- Ca veut dire quoi ? Répondit la jeune fille ignorante.

Maria rigola et lui répondit :

- Mais c'est comme ton prénom ma chère, Vulcania ça veut rien dire, c'est pareille pour Maria.

Vulcania compris alors que c'était une sorte de mot pour nous reconnaitre, elle trouvait cette idée étrange mais pas bête du tout, c'est alors avec bonheur qu'elle lui dit :

- Je trouve ça jolie Maria moi, dit ça te plairait que je t'appelle Maria au lieu de maman, comme ça tu pourrais l'entendre à nouveau ?

La jeune mère ne sue quoi répondre, son coeur se mit à battre la chamade voyant tant d'amour que cet enfant qui n'était pas le sien pouvait lui apporter, malgrés le lieu dans lequel elles se trouvaient. Elle lui répondit avec une larme de joie :

- Hooo oui ma petite Ange, ça me fait tellement plaisir que tu es eu cette merveilleuse idée, puis elle la serra aussitôt dans ses bras.

La jeune fille versa une larme à son tour, et c'est le coeur plein d'entrain qu'elle dit :

- Bon on mange j'ai faim moi, puis un rire s'en suivit.

- Hahaha oui tu as raison avec toute cette rigolade on pense même plus à ce qu'on devait faire ...

Maria déroula la serviette dans laquelle se trouvait les danrrés pour le repas, mais dans les profondeurs de la terre les ressources sont très rares ou peu varièes, les provisions n'étaient autre que du rat et quelques racines. Maria lui dit toute frétillante :

- Tient ma jolie, je te laisse le plus gros, tu l'a bien mérité !

- Merci Maria c'est trop gentil, répondit l'enfant tout aussi éxcitée.

La petite famille mangeait tranquillement lorsqu'une nouvelle question de Vulcania perturba ce silence :

- Dis pourquoi il y a personne d'autre avec nous, je sais qu'il y a des gens mais on les vois jamais ...

La jeune mère fut à nouveau perturbée, et répondit :

- Mais ils ont aussi leurs vies, nous on à la notre et eux la leurs, tu comprends ?

- Oui je comprend, mais il peuvent partager un petit moment de leur vie avec le notre de temps en temps, je pense pas que ce soit mal ?

- Les gens n'ont peut être pas envie de la partager justement, et je te conseille d'éviter de les connaitre !

- Tu les connais toi ?

Maria hésita, elle ne devait pas parler de ce genre de chose, ni même évoquer une quelconque surface, c'est alors qu'elle répondit :

- Oui je les ais connue, mais eux ne veulent plus entendre parler de moi, ni même de toi, et si j'insiste il nous feront du mal !

Vulcania eu un frisson qui l'a traversa, rien que l'idée qu'on pouvait faire du mal à sa mère lui faisait très mal, alors elle resta silencieuse et continua son repas. Maria la regarda longuement lui fesant comprendre qu'elle ne devait pas insister sur ce genre de question, puis elle lança un regard rassurant lui faisant comprendre qu'elles ne risquaient rien si elles vivaient leur vie sans rien demander à personne. La jeune fille se jura alors de ne plus jamais recommencer.

Pheare réouvrit les yeux s'extirpant de ses songes mémoriale, elle se leva et fit quelques rondes avant dit replonger à nouveau.

Six mois plus tard, Vulcania passait le "balaie" dans leurs lieu de vie, celui ci était composé d'un bout de bois pour faire le manche, et de racines sêchée pour faire les poiles, quand soudain elle fit tombé un récipiant en terre qui était posé sur une pierre dépassant du mur, celui ci se brisa dans sa chute. Sans perdre une seconde elle coura à la recherche de sa mère pour lui expliquer sa bêtise involontaire, celle ci lui avait dit qu'elle partait chercher le dîner. Vulcania courue longuement dans les sombres couloires, jamais elle n'avait été aussi loin, la peur commençait à l'envahir, mais cela cessa rapidement quand elle entendit la voix de Maria, La jeune fille se dépêcha d'aller la rejoindre, mais elle fut soudainement stoppé quand elle entendit une autre voix, une voix grave et retentissente. Vulcania s'approcha doucement puis posa ses deux mains sur le bord d'une ouverture qui donnais accès à une autre pièce taillé à même la roche, elle s'avança davantage pour qu'elle puisse mettre une image sur ce son. La jeune fille voyait sa mère de face mais trop concentrée sur le personnage qui lui parlait pour lui prêter la moindre attention, tandis que la chose était de dos, elle était bien plus grande que sa maman, au moins deux têtes de plus, celle ci était vêtue d'une longue cape noire qui ne laissait rien paraitre. Vulcania malgrés la terreur qu'elle éprouvait se concentra sur leurs conversation :

L'ombre était en train de dire :

- ... cesser de vous plaindre, que vous soyez en manque de vivre ne m'altère aucunement, cependant je me dois d'obéir à mon maitre, mais si ça tiendrait qu'à moi vous seriez mon prochain repas !

La femme horrifiée répondit :

- La vie de Vulcania à plus d'importance que la votre aux yeux de votre maitre, vous feriez mieux de lui obéir !

- Mais c'est ce que je vais faire, voici pour vous !

L'ombre lui tendit des restes Humains que la femme accepta comme ci c'était une habitude, Vulcania n'a pus voir ce qu'il lui donnait, mais le reste de la conversation alla lui prouvé que c'était pas très saint :

- Merci ! Répondit elle d'une voix roque

- Préparez ça en cachette, mais je pense que vous le savez !

- Oui je le sais, depuis six ans et demis que je m'occupe d'elle je sais encore ce que j'ai à faire !

- Très bien dégagez maintenant ! Répondit l'être noir en se retournant brutalement.

La jeune fille fut tout aussi vif en se retirant aussitôt, puis elle se mit à courir pour revenir là ou il passait leur vie jusque là bien tranquille, elle ramassa les morceaux de la tasse qu'elle avait cassée et les jeta au loin parmis les autres saletés de leur vie quotidienne. Vulcania se rappela de toute la conversation, et de ce faite elle put faire le rapprochement sur le nombre de fois que sa mère refusa son aide pour les repas, lui disant de jouer ou de ranger. La jeune fille fut envahie par une intense curiosité qui la démangeait, il fallait qu'elle sache coute que coute de quoi il s'agissait, qu'est ce que Maria pouvait faire de si secret au point de lui cacher, alors que c'est quelque chose qu'elle mangeait toute deux par la suite. L'enfant s'assaya attendant sa maman ...

Maria fit enfin son apparition, elle ne put que félicité sa fille pour la propreté de l'habitat, mais Vulcania n'en avait cure, elle ne fit qu'un simple sourire pour approuver ses dires. La jeune femme prit d'une soudaine envie lui dit :

- Ah tu m'excusera un besoin urgent !

La femme n'était pas inquiète de la potentielle curiosité de Vulcania à l'égare de se qu'elle tenait, elle posa donc la mystèrieuse nourriture à coté du chaudron qui servira à la faire cuire, puis s'en alla uriner. La jeune fille prit un air dégouté quand elle s'approcha du sac en toile complètement ensanglanté, elle prit son courage à deux main et l'ouvrit lentement, ce qu'elle vit la fit tomber sur les fesse, leur futur dîner était un bras méchament arraché, il restait même une bague sur un des doigts, puis à coté se trouvait quelque chose de tout aussi répugnant, mais elle ignorait ce que s'était, cette chose était ovale avec une multitudes de grosse veine qui s'entrelassaient, Vulcania prête à vomir referma soigneusement le sac et se remit à sa place essayant désespérément de calmer ses hauts le coeur. Ceux ci ne fesaient que s'intensifier quand elle repensait au nombre de fois qu'elle a dut manger ces choses abominables ...

Mais quand sa mère fut revenue et qu'elle le prépara en la tenant éloignée comme à son habitude, Vulcania se résigna tout de même à le manger, elle imaginait que c'était du rat pour éviter de tout revomir. Malgrés cela la jeune fille aimait profondément sa mère, et dans son esprit d'enfant elle devait faire ça pour son bien.

Pheare revint à elle une nouvelle fois et se dit :

-*Ouiii ma chère mère me nourrissait déjà de chaire humaine, c'est eux qui ont voulus ce que je suis devenue aujourd'hui, je n'ai pas besoin de songer davantage*

En effet Pheare n'avait pas besoin de se remémorer son enfance, car la suite de ses souvenirs sont répétitifs jusqu'au jour J ou l'ombre à fendu le crane de Maria. Cependant elle ne pouvait s'empêcher de repenser à sa sortie des tréfonds obscurs, ou elle vit les tout premiers rayons de soleil.

Pheare s'approchait de la sortie mettant une main à quelques centimètre de ses yeux et l'autre bien tendu devant elle, afin de ne rien percuter. Ses yeux mirent plusieurs jours avant de s'habituer à l'intense lumière du monde extèrieur, la jeune fille agée d'à peine dix-neuf ans ne fit que errer quelques jours, se nourrissant d'insectes et tout se qu'elle pouvait trouver jusqu'à ce qu'elle apperçoive une forêt, elle se demandait se que cela pouvait être, de gigantesques choses s'élevant haut dans le ciel, et toute sorte de petit bruits, elle continua d'avancer pénétrant dans l'immense forêt, sa marche fut longue lorsqu'elle entendit un bruit continu, elle connaissait ce son, car elle a vécue non loin d'une rivère souterraine, elle s'en approcha afin de se débarbouiller, et nettoyer toute les croutes de sang sêchées qui la recouvrait, et surtout se désalterer, les insectes donne soif. Après s'être bien récurée elle alla s'allonger dans l'herbe pour profiter d'un sommeil bien mérité. Mais pendant son lavage elle avait déchiré la seule tunique qui protègeais son intimité, c'est donc nue que Pheare dormait.

Après un long repos de plus d'une vingtaine d'heures, Pheare se réveilla enfin, puis se remit en route, ne se préoccupant pas de sa tenue vestimentaire. Plusieures heures passairent quand elle vit la fin de la fôrêt, et dans sa progression elle apperçut un village composé d'une quinzaine de maisons en contre bas, malgrés sa petite taille celui ci regorgeais de vie, des enfants qui couraient, des gens qui rigolaient, et d'autre qui travaillaient, tout à coup Pheare se jeta au sol car une femme toute vêtue de noir s'approchait, apparemment celle ci cherchait à s'isoler, une belle occasion se présenta à la jeune fille qui ne voyait que des vêtements sur pieds, il était temps pour elle de se faire une nouvelle garde robe. La femme s'arrêta et s'agenouilla, elle sortie un objet de sa poche et dit :

- Mon cher et tendre amour, tu me manqueras, fait bon voyage je ne cesserais jamais de penser à toi et à tout le bonheur que tu m'as apporté ...

La femme s'écroula à quatre pattes et éclata en sanglots, alors que Pheare se tenait debout à quelques centimètres derrière elle, elle se pencha mit sa main sur la bouche de la dame en pleure et la releva d'un coup sec en lui brisant le cou, celle ci tomba lourdement sur le sol, et Pheare ajouta :

- Salut le de ma part !

Pheare lui ota ses vêtements en arrachant le superflu, elle garda néanmoins son voile, sachant qu'elle ne ressemblait pas à ces personnes, son physique pourrait lui porter préjudice. C'est toute vêtue de noir qui est sa couleur préférée après le rouge que Pheare se dirigea d'un pas rapide et certain vers le village. La nuit commançait à tomber, alors tout les gents rentrèrent dans leurs chaumières, mais d'autre allaient dans une auberge au centre du village, Pheare attendit l'occasion et y entra, l'odeur y était nauséabonde pour elle, de la fumé, des parfums et bien d'autre odeurs se mélangeaient, malgrés cela elle alla s'assoir à une table reculé, tout le monde était bien trop occupé à rigoler et à danser pour lui prêter la moindre attention. La soirée battait son plein quand un des homme se mit debout sur un table et dit :

- Aller Déker raconte nous une de tes fameuses histoires !

Le vieux Déker ne se fit pas prier et demanda à tout le monde s'assoir et de se calmer avant de dire :

- Ecoutez tous, cette fois je vais vous raconter une histoire vrai, une histoire que j'ai été témoin, jusque là je ne voulait jamais le dire, mais ce "secret" devient bien trop lourd à garder ...

Le vieil homme se leva et alla prêt de la cheminée afin de commencer son récit :

- Ca c'est passé il y a tout juste dix-neuf ans, dans un endroit très éloigné d'ici, à l'époque je voyageais à travers Jade, j'étais ami avec une famille de fermier qui n'avaient rien à envier à personne, je les les connaissait bien, ou plutôt je croyais les connaitre, je fut le premier à le savoir lorsque la femme fut enceinte, alors je décida de rester plus longtemps pour pouvoir assister à cet heureux évènement, neuf mois plus tard leur fils tant attendu vint au monde, j'ai même eut l'honneur de le prendre dans mes bras alors qu'il n'avait que quelques minutes, cependant la mère se mit soudainement à hurler, une autre contraction se fit, alors le père me laissa le nourrisson dans mes bras pour s'occuper de sa femme, et là, je fus alors témoin d'une deuxième naissance, une fille cette fois ci, je n'en crus pas mes yeux et la petite famille non plus d'ailleurs, elle pleura immédiatement après que l'air soit entré dans ses poumons, néanmoins la réaction du père changea, il me fit sortir de force en m'arrachant le bébé des bras ... Alors je suis revenu les voir le lendemain matin à la première heure, et là ce qu'on me dit me cidéra, la petite fille était morte née, du moins c'est ce qu'on m'avait dit. Car plus tard, alors j'étais à la chasse en forêt je ne remarqua pas la nuit me prendre par surprise, alors je m'étais perdu, ça faisait trois jours que j'avais été témoin des deux naissances, puis tout à coup j'entendis des pleurs, je me cacha derrière des buissons et je vis mon "ami" en train d'abandonner sa propre fille au beau milieu des bois, alors qu'il partait la laissant pour morte sans même se retourner je décida de la prendre avec moi mais, des craquements soudains me forcèrent à rester camoufler, et c'est qu'une immense peur m'envahie quand je vis une ombre surgir de nul part pour s'emparer du bébé avant de s'enfuir sur une bête que je n'avais jamais vu, de là je compris que mon soit disant ami avait pactiser avec cette espèce d'ombre, car c'est à ça qu'elle ressemblait, en plus ça avait des yeux jaunes ...

A ce moment là Pheare redressa la tête et compris que c'était sans doute la même ombre qui l'avait torturée, mais elle ne détourna pas son attention de l'histoire du vieil homme.

- La peur me prenait à la gorge alors je couru sans m'arrêter sans même savoir ou j'allait, mais cette panique me permit de retrouver ma demeure. Depuis ce jour je ne lui est plus jamais adressé la parole, mais je continuais de l'observer, je n'avais pu sauver leur fille, alors je veillait à la sécurité du fils restant mais, à mon grand étonnement il était plutôt bien traiter, plus tard il fut même envoyé au château d'Émeraude, aujourd'hui il est probablement devenu défense d'Enkidiev, au moins une bonne chose qu'ils auront fait ... Voila de quoi j'ai été témoin, voyez jusqu'où l'Humain peut aller sans même que l'on ne comprenne la raison, voila donc mon terrible secret de que vous savez à votre tour désormais, je vous prie de m'en excuser mais ça devenait trop lourd à garder ...

Pheare fut abassourdit parce qu'elle venait d'entendre, elle aurait donc un frère, et Maria n'était pas sa mère, il fallait qu'elle enquête. Elle attendit que tout le monde aille se coucher, le vieil homme étant le dernier à sortir c'est à ce moment alors qu'elle était caché derrière un mur puis, elle l'attrapa et l'enmena dans la forêt d'où elle était venue, l'homme hurlait il ne comprenait pas se qui se passait tout allait si vite mais, tout s'arrêta quand il fut jeté au sol, Pheare arracha son voile rélévélant son visage à la lumière de lune, le vieux poussa un cri de terreur en la voyant, Pheare lui dit alors :

- Oui c'est ça cri tant que tu le peux encore, mais avant tu vas me dire, tout me dire ce que tu sais sur cet Homme !

L'homme repris son souffle et lui demanda :

- Qu... que voulez vous ... savoir .

- TOUT !!!!!! Hurla Pheare

- Je sais très peu de chose à son sujet, je sais même pas si il est restée au chateau ...

Pheare le souleva de terre et dit :

- Donne moi son nom !!!

- Thomas il s'appel Thomas ..

- Et où se trouve ce chateau, OU ?

- A à ... à Émeraude... Émeraude ...

Pheare le jeta au sol et lui écrasa la gorge avec son pied jusqu'à ce que mort s'en suive avant de continuer sa route ...

Pheare réouvrit les yeux et se dit :

-*Maintenant que j'ai fais le ménage dans mes souvenirs, et que je me suis renseigné à droite et à gauche sur ces supposés chevaliers, tout ce que j'ai à faire c'est d'aller à Émeraude et de décidé ce que j'y ferais*

C'est alors que la jeune femme agée maintenant de vingt quatre ans se mit en route pour retrouver son jumeau, et se venger de lui et de tout ceux ou celles qui le protègeront, ou qui lui barrerront la route ...

(HJ: Bien voila, alors j'espère que ça ira, là j'en peut plus lol, désolée Thomas c'est tombé sur toi xD)

arf, ca c'est de l'histoire ^^

Bon bah j'ai qu'une chose à dire, validée ^^
en fait, j'en ai deux, assure toi juste que Thomas soit d'accord pour que tu sois sa jumelle (d'ailleurs, si tu es sa jumelle tu dois avoir 24 ans, et non 20 puisqu'il y a eu un saut dans le temps de 4 ans ^^)

*Némésis vole le clavier à sa narratrice*
t'approche pas trop près de MON Thomas toi sinon je te transforme en hachis parmentier...

*Narratrice reprend le clavier.*
Suffit Némée...

Bon et bien, je conclus cela par un Bienvenue !

[je tiens à mexcuser pour le coup de Némée/Narratrice mais j'avais besoin de refaire tomber la pression ^^""".]

Lol pas de soucis, je m'occupe de tout ça, désolée je n'avais pas vu le saut temporel.

Pas grave pour le côté skyzophrène, ça me plait xD

Parfait, je vais pouvoir le lâcher ici mon "côté skyzo"

Aller, j'attend la modif et ca part pour les présentations acceptées ^^

Tu as du mettre ton bandeau sur l'oeil qui marche encore xD, car je l'ai faite la modification, puis normalement Thomas n'a pas besoin de me donner son avis, ça ne modifie en rien son perso car il ne me connait pas

*tire la langue*
Eh oh hein bon ^^ je reviens d'une dure journée alors le machin dans la tête fonctionne au ralenti ^^" (déjà que d'habitude il est pas rapide...)
Et l'autorisation c'est par politesse et tout le tralala mais vu ce que j'ai lu dans le flodd ça à l'air d'être ok donc... je vérouille ^^