rencontre (pv Tsubaki)

Zieo s’était tôt. Tôt ! Non, très tôt c’est à peine s’il avait dormi. Il était lever depuis prés de deux heure quant le soleil se leva. Zieo qui n’aimait pas du tout manger avec d’autre personne et il alla dés que le soleil fut lever au cuisine. La cuisinière fessait toujours des mouvements maladroits devant lui, Zieo savait parfaitement que c’est parce qu’elle avait peur de lui, mais il ne disait rien absolument rien. Il mangea et ensuite retourna dans la cour pour s’adosser a un mur et s’assoir parfois il allait parler avec les quelque animaux ou bien encore foudroyait du regard les passant qui le regardait bizarrement, certain qui le regardait trop de travers il se servait de sa métrise de l’air pour les envoyer balader dix mètre plus loin de leur position. Puis tut d’un coup alors qu’il profitait du soleil quelqu’un alla prés de lui. La fille avait la peux blanche et les cheveux blanc, c’est yeux bleu était vide. Si elle croyait que ses yeux bleu allait l’effrayer es qu’elle essayait de jouer avec les nerfs d’un démon, si c’était le cas, elle ferait mieux de faire gaffe a ses fesse. Tout en le regardant droit dans les yeux Zieo prit la parole.

-Quesque tu me veux ? Si tu essaye de me faire peur avec tes yeux laisse tomber et si tu essaye de jouée avec mes nerfs fait gaffe a tes fesse.

Zieo la fixait toujours droit dans les yeux, il la regarda d’un nerf qui disait « alors quoi ta peur de parler.» Zieo attendit une réaction de la pare de la fille un peu étrange, mais se n’était pas dans son habitude de critiquer le physique des autre vus le sien.

Tsubaki se dirigeait, comme à son habitude d'ailleurs, vers le coin le plus reculer de la cour. Elle sentit plusieurs courant d'air anormalement puissant effleurer sa peau.

- Raiu, tu le sens, n'est-ce pas ?
- Oui, c'est de la magie.
- Quelqu'un d'autre maîtrise le vent. Je ne m'ya attendais pas.

La jeune fée chercha la source de ce pouvoir. Elle finit par appercevoir un garçon à la peau orange et aux oreile de chat. Tsubaki ne le jugea pas. Elle le regarda dans les yeux. Ses iris étaient orange. La jeunne fille ne le jugea pas pour autant.

-Quesque tu me veux ? Si tu essaye de me faire peur avec tes yeux laisse tomber et si tu essaye de jouée avec mes nerfs fait gaffe a tes fesse.

La voix du garçon était sèche. Agressive, même. Raiu sembla s'agiter.

- Si il te touche...
- Du calme, Raiu, dit la jeune Fée à son hermine. Tu n'as pas besoin d'aller aussi loin.

Tsubaki le sentait bien, maintenant. C'est lui qui agitait le vent. Le vent le lui disait. Elle entendait le vent.

- Bonjour... Commença-t-elle. Je ne pense pas que je ferais peur à quelqu'un... En fait, j'ai sentis dans le vent une agitation anormale et j'en cherchait la cause... Donc toi aussi, tu maîtrise le vent ?

Tsubaki tendit la main et fit apparaître une petite tornade, tornade qu'elle fit rapidement disparaître pour ne pas trop s'épuiser. Elle se rendit compte qu'elle ne s'était pas présenter. Elle remédia à cette oubli.

- Connais-tu la fleur Tsubaki, espèce Camélia ? C'est une fleur qui est jolie lorsqu'elle est fleurie, mais qui meurt lentement, tristement, sans aucune plainte. Elle n'a pas d'odeur. JE me nomme Tsubaki. Et elle, elle désigna son hermine, elle s'appelle Raiu.

Tsubaki s'éfforça à sourire. Non pas que l'apparence du garçon en face d'elle, probablement un futur écuyer, la répugnait, mais plutôt qu'elle était.... Indifférente.

La fille ouvrit enfin la bouche pour parle a son animal de compagnie bien sur Zieo avait le pouvoir de comprendre et de parler aux animaux il comprit donc la conversation entre les deux.

- Si il te touche...

- Du calme, Raiu, Tu n'as pas besoin d'aller aussi loin.

C’est sa. Et quesqu’il allait faire appart aller se cacher loin. Puis la fille se tourna vers lui et dit.

- Bonjour... Commença-t-elle. Je ne pense pas que je ferais peur à quelqu'un... En fait, j'ai sentis dans le vent une agitation anormale et j'en cherchais la cause... Donc toi aussi, tu maîtrise le vent ?

Zieo regarda la fille qui plaçait sa main devant elle et une mini tornade se forma et s arrêta peut de temps après. Puis la fille se présenta.

- Connais-tu la fleur Tsubaki, espèce Camélia ? C'est une fleur qui est jolie lorsqu'elle est fleurie, mais qui meurt lentement, tristement, sans aucune plainte. Elle n'a pas d'odeur. JE me nomme Tsubaki. Et elle, elle désigna son hermine, elle s'appelle Raiu.

Il vit Tsubaki s efforcer un sourire. Il décida de répondre d abord a l animal.

-Et Raiu même si je l agressait. Quesque tu ferais tu finirais dans le même état que je la mettrais alors si tu veux bien te mêlé de se qui te regarde. Bon pour toi Tsubaki, oui je maitrise le vent. Je suis désoler d’avoir était agressif, mais je n’ai pas l habitude qu’on vienne me parler d ailleurs tu es la première personne appart les profs qui me parle dans se château.

Zieo pour prouver a Tsubaki se qu’il disait commença à marcher doucement dans les airs et a environ un mètre du sol se laisser flotter pendant une dizaine de seconde. Puis reprit la parole.

-Moi c’est Zieo, mais en général on m’appelle le démon même si je ne te conseillerai pas de m appelait comme sa.

Il regarda la fille attendant sa réaction.

-Et Raiu même si je l agressait. Quesque tu ferais tu finirais dans le même état que je la mettrais alors si tu veux bien te mêlé de se qui te regarde. Bon pour toi Tsubaki, oui je maitrise le vent. Je suis désoler d’avoir était agressif, mais je n’ai pas l habitude qu’on vienne me parler d ailleurs tu es la première personne appart les profs qui me parle dans se château.

Zieo commença à marcher dans les airs et flotta une dizaine de secondes.

-Moi c’est Zieo, mais en général on m’appelle le démon même si je ne te conseillerai pas de m appelait comme sa.
- LEs apparences sont trompeuses !
- Tu sais, Zieo, je ne pense pas que quelqu'un puisse être qualifié de "démon" en se basant seulement sur les apparences. L'apparence ne compte pas, c'est le coeur qui est important.

Par le simple fait qu'on l'appelle "démon", Tsubaki pouvait facilement deviner qu'il n'avait pas eu un passé de tout repos. Elle non plus, d'ailleurs, elle n'en avait pas eu un.

[Court désow' je savais aps quoi dire]

Zieo écouta l'animal parler et ensuite Tsubaki.

- Les apparences sont trompeuses !

- Tu sais, Zieo, je ne pense pas que quelqu'un puisse être qualifié de "démon" en se basant seulement sur les apparences. L'apparence ne compte pas, c'est le coeur qui est important.

Zieo regarda Raiu, et Tsubaki, il se fichait pas mal de son apparence, non plus, mais il n'aimait pas que ont l'insulte et encore moins que on rigole de lui, mais tout ceux qui c'était moquer de son apparence ne se moquerait plus jamais de quelqu'un. Zieo ouvrit la bouge.

-Tu sais de la où je viens on as voulut me tuer juste pour mon apparence, alors maintenant je préfère ne plus me laisser faire et de vivre ma vie en éliminant ceux qui ne méritait pas la leur. Mais vus que tu ne semble pas être très social au si je suppose que tu doit aussi avoir un mauvais souvenir de la où tu viens. Moi maintenant il n'y as plus rien de la où je viens j'ai tout raser et tuer tout le monde.

Zieo attendit une réponse sans se préoccuper de l'hermine.

-Tu sais de la où je viens on as voulut me tuer juste pour mon apparence, alors maintenant je préfère ne plus me laisser faire et de vivre ma vie en éliminant ceux qui ne méritait pas la leur. Mais vus que tu ne semble pas être très social au si je suppose que tu doit aussi avoir un mauvais souvenir de la où tu viens. Moi maintenant il n'y as plus rien de la où je viens j'ai tout raser et tuer tout le monde.

Tsubaki hésita un moment. Devait-elle dire la raison qui l'a pousser à choisir de rester seule. Raiu lui donna un coup de patte, comme si elle lui en voulait.

- Vas-y, murmura l'hermine.
- ... Je suis née différente des autres fées. J'ai grandis là-bas durant deux ans seulement. Et dans la haine des autres. Puis, on m'a envoyer je ne sais trop où, là où j'ai dû effectuer à longueru de journée divers tâches épuisantes. Mon seul réonfort, c'était bien Raiu. Je l'ai trouvée en pleine tempête, d'où son nom. Elle m'a accepter telle que je suis.

Malgré ce qu'lle venait de révéler, la jeune fée renforça encore sa barrière mentale.

Zieo écouta Tsubaki résumer sa propre histoire.

- ... Je suis née différente des autres fées. J'ai grandis là-bas durant deux ans seulement. Et dans la haine des autres. Puis, on m'a envoyée je ne sais trop où, là où j'ai dû effectuer à longueur de journée divers tâches épuisantes. Mon seul réconfort, c'était bien Raiu. Je l'ai trouvée en pleine tempête, d'où son nom. Elle m'a acceptée telle que je suis.

Zieo regarda l’hermine. C’était bien vrai, les seuls êtres qui acceptaient tout le monde telle qu’ils soient étaient les animaux. Zieo regarda dans la cour un homme le regardait bizarrement, comme d’habitude Zieo le fusilla du regard, mais l’homme le regarda encore plus bizarrement. Zieo parla envers l’homme.

-Très mauvais choix.

Il leva la main et des courant d’air envoya l’homme se fracasser contre la muraille. Ensuite il répondit à Tsubaki.

-Je suis totalement d’accord avec toi les seul être vivants qui accepte tout le monde telle qu’il est ce sont les animaux. Je voudrais savoir pourquoi tu ma demander si j’avais un pouvoir sur l’air.

Zieo regarda l’homme qui s’emblait c’être évanoui sur le choc contre la muraille. Et après se retourna vers Tsubaki en attendant sa réponse.

La jeune fée ressentit un picotement dans son dos. Quelqu'un les observait. Zieo le fusilla du regard, et sans que la jeune fille eu besoin de se retourner pour constater l'ampleur des dégats, Zieo avait levé le bras et avait envoyer valdinguer l'individu contre le mur.

-Très mauvais choix
-Je suis totalement d’accord avec toi les seul être vivants qui accepte tout le monde telle qu’il est ce sont les animaux. Je voudrais savoir pourquoi tu ma demander si j’avais un pouvoir sur l’air.

La jeune fille eu une fraction de seconde l'esquisse d'un sourire. Elle n'allait pas se priver de l'expliquer.

- Je comprend le gémissement du Vent. Je peux parler au Vent, aussi, bien que celui-ci ne soit généralement pas très bavard. Et le gémissement du vent est perturbé, en ce moment, alors j'en cherchais la cause. C'est tout.

Tsubaki passa sous silence le fait que le Vent lui fournissait parfois des informations qui lui étaient utiles. De toute façon, les chevaliers -et écuyers- auraient largement le temps de s'en redre compte.