Notes: C'est Anna, coucou!
Bon ok, j'crois qu'vous l'savez et que ça vous intéresse pas
Euh, pour les qualités, les défauts, ce que j'aime et ce que je n'aime pas, je les ai juste ajoutés dans psychologie, ça rentre mieux. J'ai écris un bout de ma présentation au 'je' mais je ne le ferais pas en RP, promis
Nom: D'Émeraude
Prénom: Éloria
Surnom: Élo
Âge: 22 ans
Race: Humain
Royaume de naissance: Opale
Royaume actuel: Émeraude
Description physique: Si on me disait de me décrire physiquement en un mot, je n'aurais pas le choix de dire, albinos. Je suis née comme ça, bien que cela ne soit pas ma chose favorite. Je n'aime pas mon physique du tout en fait. Mais ma grande taille, mes bras et mes jambes musclés m'ont permit de vite devenir un fort et fier chevalier qu'on m'a dit plus jeune que j'étais. Au moins, je ne me plains pas de mes yeux, qui auraient toujours pu être rouges, mais ils sont bleus. C'est rare bleu? Pas chez un albinos, soit c'est rouge, soit c'est bleu. Je laisse aussi mes cheveux le plus court possible. C'est vraiment très utile pour le combat vous savez? Et ça me donne toujours un air plus farouche. On me dit aussi que tous ces éléments me donnent un air fort et sévère. Trop même. Voir machiavélique? Mais je me répète que si c'était le cas, on ne m'aurait peut-être pas accepté dans l'ordre, avec une réaction du genre: 'Wooaah, vous avez vu l'enfant? On la renvoie dans son royaume! Après on se demande quelles raisons les parents ont de les envoyer ici!'. bref, albinos.
Description psychologique: C'est un quizz ou quoi?! Ma façon de penser, on la remarque en me voyant l'air. Ou juste en voyant ma façon de me comporter. C'est un peu difficile de dire soi-même comment on pense. Sauf vous dire que
oui je suis sévère, et que
oui je suis un peu machiavélique, la preuve étant que je vous le dis même si je le suis pas. Oh, je tiens à préciser que ce que je n'aime pas et ce que j'aime, c'est pas compliqué. Je n'aime pas les choses trop simples, ou trop compliquées, je n'aime pas ce qui est quétaine. J'aime lire, mais pas tant que ça, donc je ne suis pas un rat de bibliothèque et en même temps, je ne contiens pas tous les savoirs, les gens devraient savoir maintenant qu'on ne peut pas venir me voir pour n'importe quoi. J'aime manger, me battre, dormir, être seule, énerver les gens parce que je les aime et beaucoup d'autres chose classifiées d'amusantes, pas moi. Si j'ai des défauts,ce serais sans en douter que j'ai mauvais caractère. M'enfin, c'est ma facette que je montre aux gens autour. Je suis orgueilleuse, ne perds pas souvent un obstination. Et là, même si je la perd je trouve une raison de la regagner. Je suis trop sérieuse plus de la moitié du temps, je ne pense pas avant d'agir, j'agis et c'est tout. si j'ai une certaine qualité, c'est que j'aime rire, et que toutes les fois que je ris, on peu s'assurer qu'il est sincère. Mais personne n'a dit que je le faisait souvent. Alors pas la peine de sortir une plaisanterie mal placée. Une autre qualité? Avouer que je n'en ai pas trop? Pour en rajouter, je ne crois pas que je trouverais un amoureux, je ne crois pas aux âme-sœurs et personne ne me fera changer d'idée.
Armes: Dagues, épées, couteaux, je fais avec ce que j'ai entre les mains.
Pouvoirs: Le feu à la base, comme tous les chevaliers, la guérison, la télépathie, mais ces pouvoirs sont les mêmes que tous les autres chevaliers, ma spécialité reste dans les sors d'attaque, comme les rayons incandescents et autres, et dans la lévitation qui était mon seul pouvoir plus jeune.
Fonction: Chevalier
Histoire: Depuis plus d'un an son corps s'était habitué à sa routine habituelle. Survivre. L'argent qu'elle gagnait au boulot lui servait à se divertir dans des places de légalité douteuse. Depuis plus d'un an, son mari était mort.
C'était quand ils étaient encore tout deux de jeunes apprentis qu'ils s'étaient rencontrés. Tous les deux voulaient fermement devenir des pâtissiers. Et même si leur maître leur enseignait à tous les deux, ils leur avait souvent répété que seul l'un d'entre eux pourrait le succéder. Lui-même n'ayant pas d'enfant. Tous les jours, ils se battaient pour la même cause. Ils étaient à peu près rivaux. Mais une amitié les liait quand même déjà. Si une journée l'un avait manqué son pain, mais que l'autre avait préparé deux fois trop de petits gâteaux, ils allaient partager. Non sans l'en avertir leur 'embaucheur' (car ils n'étaient pas payés, n'étant que des apprentis) qui était toujours un peu plus fier d'eux, secrètement, de s'entre-aider malgré leur supposée rivalité. Année après année, les deux enfants vieillissaient. Ils devinrent des adolescents, un peu plus autonomes qu'ils l'étaient trois ans plus tôt. Le jeune homme commençait à courir après les femmes de leurs âge qui venaient chaque matin. Au grand déplaisir de son amie, qui elle ne comprenait pas vraiment pourquoi elle était jalouse de lui. Ou d'elles. Oh, mais même s'il se passait quelque chose entre le garçon et une autre fille, ce n'était jamais du sérieux. Il avait bien remarqué comment se sentais son amie face à son comportement. Donc, un jour, il lui proposa une sortie. Ils prirent congé, avec le consentement de leur 'maître'. Après seulement quelques une de ces sorties mensuelles, les deux amis finirent par sortir ensemble. Ils ne faisaient jamais rien de louche en public, et même rarement lorsqu'ils étaient tous les deux seuls, mais quelques mois après un petit mariage très réussis à leur goût, elle était enceinte. Leurs amis, qui n'étaient qu'en fait les clients de leur petit magasin, étaient heureux. Sauf peut-être quelques filles... 'autre histoire. Ils eurent leur enfant. Après un argument sur le nom, ils se décidèrent pour Éloria. Les deux premiers mois de la vie de leur enfant furent les plus heureux de leur vie de couple. Et l'un d'eux, deux mois plus tard, dut décider de quitter la boulangerie. Les deux se portaient volontaires, mais quelqu'un devait quand même rester. Le père de l'enfant disait qu'il pourrait se trouver un autre travail pour profiter de plus d'argent, en plus de dire qu'être boulanger n'était pas un travail pour lui, Tandis que la mère d'Éloria assumait pouvoir lui laisser l'ouvrage à la boulangerie, et s'occuper de la petit à la maison, l'attendant à chaque soir. Mais même s'il n'en semblais pas ainsi, l'homme gagna cette chicane et alla se trouver un autre travail pendant que sa femme travaillais à la pâtisserie. Tous les soirs, elle attendait très tard son retour. Et puis un soir, il ne revint pas. Cette nuit-là, la petite pleurait beaucoup. On aurait dit qu'elle le savait. Il était mort et ça même sa mère pouvait le sentir dans ses entrailles. Et elle n'avait pas été à ses côtés. Elle n'avait jamais même su comment et où il avait péri. Cette idée lui jeta un tel froid dans la tête, qu'elle arrêta de s'occuper de l'enfant. Cette enfant qui lui ressemblais pourtant, et qui aurait pu lui emmener de la joie. Qu'un bébé, Éloria du, pour sa survie, apprendre très vite à se débrouiller. Mais deux mois ne sont pas assez. Elle découvrit alors ses pouvoirs. Car même si sa mère la nourrissait, c'était tout ce qu'elle faisait pour elle. Ne pouvant même pas regarder la petite dans les yeux.
Après un an, Élo savait marcher, courir, parler, mais jamais un sourire n'avait aluminé son visage. Elle ne savait pas comment l'on faisait ça. N'ayant jamais vraiment fait preuve de ses pouvoirs, car tout ce qu'elle avait réussis à faire jusque là n'était que d'apprendre très vite, elle fut surprise elle-même de la première fois qu'elle s'en servit vraiment. à ses quatre ans. Depuis un temps maintenant, sa mère semblais être devenue plus laide, plus vieille. Contrairement à ce à quoi elle ressemblais par le passé. Et sa mère pensait la même chose d'elle. Une fille pas très belle avec les yeux de son père, mais avec des cheveux blancs. On ne peut même pas se demander d'où elle tient son caractère. Il est ni vraiment doux, ni vraiment dur. Ou bien il l'est tous les deux.
[i]Ici je prends la relève. Je m'en souviens quand j'étais petite. Quand j'avais cinq ans. Je n'aimais pas ma mère. Je la méprisait, mais pourtant je devait rester chez elle ou je n'était pas nourrie. Et personne, aucuns des clients de ma maman ne posait de questions sur moi, même s'ils me voyaient clairement. J'étais dégoutante à leurs yeux. J'avais peut-être l'air d'une vielle avec mes cheveux. Mais mère m'avait souvent répété, alors d'une soirée où elle était saoule, que j'avais tellement les mêmes yeux que mon père, que si je n'était pas plus laide, elle m'aurait bien serré dans ses bras en pensant à lui. Mais je ne voulais pas qu'elle le fasse. Surtout pas dans un état où elle ne paraissais pas voir très clair. Un jour, tout bonnement comme les autres auquels je m'était maintenant habituée, un messager vint dans le village, disant qu'il recherchait des enfants avec des pouvoirs magiques. Ma mère n'était pas au courant pour moi. Je ne pouvait pas lui montrer comment j'étais sinon elle m'aimerait encore moins et m'enverrait là-bas. Mais contre mon gré, elle appris. Un rumeur peut-être que j'étais une quelconque sorcière. Encore mon aspect physique, certain. Et même si je n'avais pas voulu ce changement, il avait été fait. Sur le dos d'une cheval, avec une personne étrangère, je me voyais emportée ailleurs.
C'était moins pire que je ne l'avait exigé. C'était même plus amusant qu'à la maison. Même si mon caractère n'était pas apprécié des servantes et des autres, ils ne partaient pas. Ils ne se moquaient pas de moi. Comme si pour une fois dans ma vie, j'étais belle. J'étais à Émeraude, et je comptais y rester.
Et j'y suis restée.